Si je vais d'ici peu vous présenter
les divers barrages antichar du défilé de Gruyères: nous allons
traiter aujourd'hui du dernier des 4 fortins qui intègrent ce
Barrage. Le dernier, certes, mais pas le plus ridicule puisque de
part sa position, il chapeaute l'ensemble du dispositif, et c'est à
mon sens le plus beau.
La pleine des Marches, à droite, au fond, le Château de Gruyères, à gauche la falaise du bois des Marches |
Les Marches, à la recherche du
Mystère.
Lorsque je me suis plongé dans la
passion de la fortification: je découvre assez vite que Gruyères
renfermait un petit et néanmoins intéressant dispositif de barrage.
De longues dates, Les BAC je les connaissais pour les traverser
souvent. Mais je n'en savais guère trop sur les fortins. De fil en
aiguille, afin de préparer le terrain pour mon blog, beaucoup
d'infos au sujet de 5 fortins (1761, 62, 63, 64 et 65) me revenaient souvent. Mais ma liste de positions en possédait 6 et un, un
seul, restait très peu causant, fort évasif, très discret, en
bref, un beau morceau de mystère. Ce fortin, c'est le Fortin A1760
« Les Marches ». Des marches, je n'avais comme info que:
- Une photo de la parois rocheuse qui se trouve dans le Bois des Marches en dessus d'Epagny. Avec la légende qui aide beaucoup:
- Un descriptif vagues du fortin:
Pak-Werk Les Marches (offenbar nie ausgerüstet, da die Reduitlinie hinter das Werk zurückverlegt wurde). Über die Namensgebung gibt es mindestens zwei Versionen: Der Name stammt von den zahlreichen Treppen oder von der berühmten Kapelle am Fuss der Felswand. Oberhalb der Kolonie, auf einem Hügel ist die Kapelle von Notre-Dame «des Marches» sichtbar. Gebaut im Jahre 1705, wurde sie als die schönste Kapelle des Kantons von Freiburg ernannt. Erneuert im 20. Jahrhundert, zieht sie jedes Jahr zahlreiche Pilger und Spaziergängern an - une photo d'une des rampes d'escalier de l'ouvrage
.... et vous savez
quoi... et bien c'est tout!!
C'est ce manque
d'information crucial qui m'a fait décider de partir à la quête du
« St Marches ». C'est une petite enquête de proximité
qui me permettra d'en connaître un peu plus, c'est ensuite 3 à 4
après-midi « montagnards » dans le terrain qui
permettront de cerner la bête en observant le bloc de combat, les
2 entrées et.. de loin, les poste d'observation, durée de ce dur
labeur: 9 mois...
Une grossesse même
pas douloureuse et avec un terme très heureux puisque aujourd'hui,
j'ai la chance de vous annoncer la naissance de cet article. Un
article relativement complet et un peu exclusif puisque nous sommes
actuellement 2 seuls « fortif » à avoir foulé les
entrailles de ce très bel ouvrage sous l'agréable surveillance de
leurs propriétaires.
Sa situation:
Se dressant face au
Château de Gruyères: Le fortin d'infanterie des Marches profite du
superbe promontoire qu'offre la parois de rocher se situant dans le
Bois des Marches. Une parois qui surplombe la plaine de Broc, Epagny
et qui permet de regarder loin... très très loin en direction du
lac de Gruyères, de Bulle, du Château de Gruyères. Il n'en
fallait pas plus pour qu'on confère à cette zone une jolie mission
stratégique de barrage et d'observation.
Sa construction
:
Lors de la
projection de l'ouvrage effectué par la Division 1 dans les années 40, il fallait
savoir que la limite du Réduit National se trouvais à Gruyères
même. C'était toujours le cas lors du début de la construction de
l'ouvrage qui se voyait attribuer une fonction d'artillerie. Cela ne le sera plus durant sa construction. La limite
défensive du réduit « recule » à la Tine. Du
coup, l'ensemble du Barrage de Gruyères « perd » du
Galon mais garde une place importante d'avant poste. Cela dit, le
fortin des Marches ne se verra plus affublé de certaines
constructions initialement prévues par le bureau de la Division 1. Nous
y reviendrons plus bas. Il parait même (mais je n'ai pas
confirmation) qu'il n'aurait jamais vu d'armement. Le Génie ne
s'est pas donné la peine d'ériger certains éléments tel que les abris en module préfabriqué.
Les éléments
visibles de l'extérieure:
C'est impossible, à
moins d'être bien informé, de deceller de la plaine le moindre
élément du fortin. Le 1er réflexe serait de deviner les
éventuelles embrasures du dispositif, Mauvais réflexe. Les
Embrasures se trouvent au pied de la parois, dans la zone boisée.
Seul l'hiver il serait possible de les deviner depuis la plaine..
Mais encore une fois, on sachant où elles se trouvent et ayant le bon angle de vision.
Et pourtant....
vous êtes bel et bien observé: 3 fenêtres d'observation sont
taillées dans la roche: signe visible de ces postes d'observations: 2
traits noirs longitudinales se trouvant sur la portion haute de la
parois.. une 3ème se cache derrière les arbres sur la même ligne
que les 2 autres.
et vous, sauriez - vous débusquer les 2 postes d'observation se trouvant sur cette image? |
Quand on connait la
position du bloc de combat, et que l'on devine les postes
d'observation. On comprends vite... que le Fortin « Des
Marches » porte bien son nom: Tiré du lieu-dit et de la chapelle s'y trouvant tout proche, il en
dénombre aussi pas moins de 400 creusées dans la roche!!
retrouvez ici les éléments "visible" de l'extérieur. En haut les postes d'observation, en bas (la position demande à être plus précise) la position des 2 blocs de combats |
Cerner ces éléments
cités au-dessus est une chose: Fallait-il encore cerner son entrée!
Située en forêt, sur le flanc sud de la parois et en hauteur, il
aurait fallu beaucoup de travail au assaillant pour y arriver.
L'entrée et la sortie de secours se trouvant toutes 2 sur la partie
haute de l'ouvrage!! Si l'ouvrage initialement prévu aurait vu le
jour, je pense que le mot « beaucoup de travail » se
serait peut être transformé en « impossible ». Des
éléments de flanquements étaientt prévus pour se parer à cette éventualité.
c'est tout bon, nous sommes sur le bon chemin |
Sa Mission:
La hauteur des
postes d'observations (complété par des troupes se trouvant au sommet
du la Dents-de-Broc) permettait de faire office de vigie et de
prévenir avec un confort assez agréable l'arrivée des troupes
assaillantes. Il est possible que ces postes d'observation pouvait également être lié au fort d'artillerie du Tosse, dont ça capacité de tir pouvait s'attendre jusque dans le secteur du Bry.
Il est simple, de part sa situation, de comprendre que IRIS (le doux nom de couverture de l'ouvrage) agissait comme maman (ou de rétroviseur pour angle mort) auprès des 5 autres ouvrages du barrage de Gruyères.
Il est simple, de part sa situation, de comprendre que IRIS (le doux nom de couverture de l'ouvrage) agissait comme maman (ou de rétroviseur pour angle mort) auprès des 5 autres ouvrages du barrage de Gruyères.
Le bloc de combat inférieur permettait en outre de défendre et barrer la plaine dans le secteur de la Berauta. D'autres bloc non construit devait couvrir la plaine de Broc ainsi que la vallée en direction du Enney.
Son état
actuel:
Délaissé par
l'armée suisse vers 2001, (plans déclassé en 2006) Son nouveau
propriétaire s'occupe très bien de l'endroit: Bon, « mis à
part 3 locaux (2 bloc de tir et un Mag Mun) il n'y a que de la
galerie » me direz-vous... Oui, je vais vous répondre. Cela
dit, l'endroit est sec, propre, et tout est nickel. Pour l'anecdote
on retrouve encore les coffres dans le Mag Mun ainsi que les clés aux serrures des
locaux ventilation et Mag Mun... sur place depuis 13 ans!!!
Et si nous
allions y faire un tour?
Mais oui, faisons
place, tout d'abord au plan de l'ouvrage afin d'y voir un peu plus clair:
et voici le plan de la visite
les chiffres présent dans la suite de l'article sont relatifs à ce plan |
Quelques chiffre sur Iris:
4 niveaux
823 altitude max de l'ouvrage
744 altitude min de l'ouvrage
408: marches (la cathédrale de Fribourg en possède 365)
2 réservoirs
0 WC
112: capacité d'accueil de la garnison
823 altitude max de l'ouvrage
744 altitude min de l'ouvrage
408: marches (la cathédrale de Fribourg en possède 365)
2 réservoirs
0 WC
112: capacité d'accueil de la garnison
Niveau 2
Si le niveau 1 est
la partie la plus haute de l'ouvrage, c'est par le niveau 2 que l'on
rentre dans celui-ci, ce niveau est équipé de la porte principale (8).
Le niveau 1, lui, accueille la sortie de secours (1). On retrouve à
l'entrée la légendaire embrasure FM qui permet de contrôler
l'entrée, puis on se retrouve vite face à la 1ère caverne excavée
dans la roche (7).
il est très rare de trouver cette porte ouverte |
On observe
également que les 5 abris de l'ouvrage (7+2) (permettant d'héberger 112 hommes) sont exécutés de la même manière: excavation dans la
roche et chape béton. On imagine que ces chapes devaient recevoir
par la suite les éléments préfabriqués devant constituer les locaux et autres cantonnements. Chose qui n'a jamais vu le jour, Mais
il est intéressant de voir que le volume excavé reste important.
Cette méthode de travail est en fait pareil dans les autres fortins
que je vous ai présentés jusqu'à maintenant et en résulte des
volumes identiques.. Mais tout ceci est ensuite remplis par les divers
élément de construction préfabriqué, ce qui fait que l'on se rend plus compte
de la grandeur de ces cavités.
Abri excavé dans la roche |
Nous continuons à
nous engouffrer dans la galerie qui nous révèle une première rampe
d'escalier descendant en direction des niveaux inférieurs. Nous
l'emprunterons plus tard, nous partons dans un 1er temps en direction
du niveau supérieur: le Niveau 1
Niveau 1:
Le niveau 1 (le plus haut) est
avant tout dédié aux postes d'observations, 3 au total, dispersés sur le
même niveau et sur la largeur de la falaise, ces postes
d'observations couvrent l'ensemble de la plaine de Gruyères, Bulle et
Broc. Les secteur s'étendent donc du château de Gruyères à Broc.
galerie menant aux divers Pobs |
Ces trois secteur
sont donc divisés comme suit:
Pobs 1 (4): Secteur Château
Gruyère - Epagny
On devine à travers les arbres le village d'Epagny |
Pobs 2 (3): Secteur Bulle
Pobs 3 (6): Secteur Broc et
environs.
Le panorama est
sincèrement de toute beauté. En cas de temps clair, il est aisé
d'observer le secteur jusqu'au pont de Corbières, Vaulruz, Vuadens
et bien évidement l'ensemble des Monts de Riaz et du Gibloux.
Nous retrouvons
également dans ce niveau 1 l'un des 2 réservoirs d'une capacité de
4450 l.(14'000 sur plan!!) (3) ainsi que l'issue de secours (1) qui se
trouve en fait une petite 10aine de mètres au-dessus de l'entrée
principale. Cette porte devait aussi initialement donner accès à
une plateforme permettant d'accueillir un canon de 7,5cm d'artillerie mobile. Cette
position n'a jamais été réalisée. Il se pourrait qu'elle se trouve en fait sous l'accumulation d'humus.
détail de l'embrasure FM du la sortie de secours |
Nous partons
maintenant en direction du niveau inférieur
c'est parti pour le grand plongeon |
Niveau 3:
Cela n'est pas moins de 372 marches que nous empruntons maintenant, ce qui va nous faire chuter de 66m. . Il faut savoir que c'est uniquement par ce passage que la canon antichar de la position inférieur aurait été acheminé sur place. Cette position se trouvant justement aux pieds de ces rampes d'escalier.
Après cette petite
réflexion, nous nous retrouvons au niveau 3. Ce niveau
renferme donc comme dit au-dessus un 1er bloc de combat. Il renferme
une position de canon d'infanterie 4,7cm converti en 9cm (11). On est surpris
de retrouver cet affut rallongé et une niche de passage dans le mur
conçu après coup. Si ce fort n'était pas achevé, cette position de tir n'était pas pour autant partie aux oubliettes.. Ce bloc comporte également une
embrasure d'observation/FM.
Mon logiciel d'assemblage a commis quelques erreurs de calculs ;-) il manque sur cette photo 2 points d'encrage type aux canon 9cm antichar!! |
position canon 9cm, ce type d'embrasure "combiné" est très rare. Il peut tant servir au déploiement du canon qu'être partiellement utilisé pour un emploi FM |
Le niveau 3 comporte également le mag mun (9). Il est encore à ce jour proche de l'état de l'époque, les coffre de stockage sont encore sur place, mais bien évidement, vidés de tout contenu.
Et pour finir avec cette étage, le local de ventilation (10) se trouve entre le bloc de combat et le Mag Mun
Le Niveau 4
En descendant en
direction du niveau 4 nous croisons un second réservoir.
Nous voici maintenant au plus bas de l'ouvrage, ce niveau est réservé au second et dernier bloc de combat réalisé et achevé de l'ouvrage. Il abrite une position Mitr et Pobs/FM. Les tirs de ce dernier devaient « raser le talus » comme le dit si bien le plan.
Nous voici maintenant au plus bas de l'ouvrage, ce niveau est réservé au second et dernier bloc de combat réalisé et achevé de l'ouvrage. Il abrite une position Mitr et Pobs/FM. Les tirs de ce dernier devaient « raser le talus » comme le dit si bien le plan.
Vu de l'extérieur,
ces 2 blocs de combat se révèlent sur 2 étages avec un feu
légèrement croisé. Leur secteur de tir s'étend du
Pont-qui-Branle au secteur du mur de la Berauta.
Position Mitr vue de l’extérieur
Position Mitr vue de l’extérieur
détail de la peinture de camouflage, extérieur |
on retrouve ici la position Mitr. Au-dessus, un peu en arrière sur la droite se trouve la position canon. |
D'autre photos viendront agrémenter cette section avec des
images de la position canon
images de la position canon
Les projets:
Avant de conclure
la visite, et comme on en a déjà un peu discuté plus haut, 4
autres positions de combat étaient projetées:
A: La plateforme
7,5cm:
Cette plateforme devait être dédiée à un canon d'artillerie mobile 7.5cm, on devine sous les feuilles mortes cette place ainsi que le mur et les échelons, reste à savoir si l'aménagement permettant d'accueillir le canon a bien été finalisé.
Cette plateforme devait être dédiée à un canon d'artillerie mobile 7.5cm, on devine sous les feuilles mortes cette place ainsi que le mur et les échelons, reste à savoir si l'aménagement permettant d'accueillir le canon a bien été finalisé.
B: 2x mitr
Cette position devait accueillir 2 positions Mitr ou 1 x MITR/ 1x FM; afin d'effectuer le flanquement en direction de Enney.Une des embrasure devait être plongeante.
On note également la possible présence d'une position de canon d'infanterie. (JK n°3)
Cette position devait accueillir 2 positions Mitr ou 1 x MITR/ 1x FM; afin d'effectuer le flanquement en direction de Enney.Une des embrasure devait être plongeante.
On note également la possible présence d'une position de canon d'infanterie. (JK n°3)
C: Position canon et mitr
2 blocs de combat devaient être créés à ce niveau. Un bloc accueillant un canon et un Pobs et un second bloc accueillant Mitr et Pobs. Toutes ces embrasures, taillées dans la roche et qui devaientt être clairement visibles dans la parois, auraient été orientées en direction de la plaine Des Marches.
D: Position Mitr
Une Position de
flanquement équipée d'une mitr et d'un pobs était projetée dans le
secteur du Pobs n°2. Les embrasures étant orientées en direction de
le Berauta.
Voici un petit photomontage visualisant la parois si elle intégrait ces positions (échelle légèrement amplifiée)
Conclusion
Nous voici arrivés
à la fin de la visite du fortin des Marches. Un fortin qui nous a
donné entière satisfaction et qui à été à la hauteur de nos
espérance. C'est sincèrement dit, pour la région, un très bel
ouvrage. On peut le deviner de l'extérieur, mais cela se confirme une
fois le seuil de la porte franchi.
Ce Franchissement
de porte n'aurait pas été possible sans l'aimable autorisation et contribution des
autorités compétentes et leurs représentant présent sur place lors
de notre visite. Je les remercie ici du fond du cœur.
Merci également à Libero et Cédric qui m'ont épaulé pour l'abordage de cet ouvrage et à Dominik pour m'avoir accompagné le jour J
Merci également à Libero et Cédric qui m'ont épaulé pour l'abordage de cet ouvrage et à Dominik pour m'avoir accompagné le jour J
Images complémentaires:
Rare: Détail du capteur SMUD resté en place (alarme anti intrusion actif lors de la période militaire de l'ouvrage) |
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Mise à jour avril 2017:
Lors de la création de cet article (datant de 2012) j'ai toujours eu à l'esprit (et je le garde toujours) de garder sous silence certaines infos liés à cet ouvrage des Marches. Simple histoire de respect des lieux, de leur propriétaire, et de leurs occupants actuels. Si je ne communiquerais jamais la direction à prendre pour accéder aux portes de l'ouvrage. L'arrivé de l'ouvrage (un livre pour le coup) "LUMIERE! Les Chauves-Souris du canton de Fribourg" lève certains "secrets" bien gardés jusqu'alors.
Ce livre écrit par Emmanuel Rey, Benoit Magnin et le grand spécialiste cantonal des Chiroptères de tout poil Jérome Gremaud renferme une synthèse sur plus de 30ans d'activité lié à la chauve souris très active dans nos contrées fribourgeoise. L'amateur de ces mammifères pourra donc apprendre aux travers de ces pages que l'ouvrage des Marches devient propriété du Canton de Fribourg en 2005 dans le but de pérenniser la présence observé d'une petite colonie de Petit Rhinolophe, espèce devenu très rare et menacé tant Suisse qu'en Europe. Les galeries de l'ouvrage seront donc classé zone protégés, par tracasserie administrative. l'extérieur de l'ouvrage le deviendra également. C'est dire la chance rare qu'il m'a été offerte de pouvoir observer cet ouvrage de l'intérieur.
Image et légende extrait du livre "LUMIERE! Chauves-souris du canton de Fribourg" |
Image et légende extrait du livre "LUMIERE! Chauves-souris du canton de Fribourg" |
Image et légende extrait du livre "LUMIERE! Chauves-souris du canton de Fribourg" |
Extrait de l'acte de vente du Fortin des Marches Image et légende extrait du livre "LUMIERE! Chauves-souris du canton de Fribourg |
Lumière! Les chauves souris du canton de Fribourg est disponible à la caisse du Musée d'Histoire Naturelle de Fribourg et dans les librairies de la région (ISBN : 978-2-9701096-0-0). Même pour un non connaisseur (comme moi) cet ouvrage est vraiment fort intéressant.
Bonjour, superbe article et magnifique photo. Savez-vous si une entrée basse était prévu dans la conception de l'ouvrage? Il me semble étrange, le magasin à munition se trouvant tout en bas, d'avoir a monter les munitions à l'entrée du sommet de la montagne pour les redescendre tout en bas le long des escaliers.
RépondreSupprimerMerci
Merci! Aucun accès inférieure n'existe sur plan et par conséquent non plus en réalité. Maintenant à savoir si lors de l'étude de l'ouvrage la division s'est planché la dessus... aucune idee. cela dit, il aurait était possible, je pense d'approcher le secteur haut avec pinz' ou Haflinger. mais en effet, les derniers mettres devaient se faire obligatoirement à pied. Salutations
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